Mes chers semblables
Mes chers semblables
comment pouvez-vous
vous courber encore ?
Comment pouvez-vous
ne pas sourire ?
maintenant
Ouvrez les fenêtres.
Le monde resplendit
infatigable.
Qu’il soit regardé.
(Yannis Ritsos, Symphonie du printemps, trad. Anne Personnaz)